Acteurs charismatiques, musiques endiablées, éblouissement sensoriel… Des éléments fondamentaux, évidemment, mais ce qui fait de Ready Player One un chef-d’œuvre dans son genre science-fiction rétro, c’est assurément le génie de Steven Spielberg. Beaucoup d’effets spéciaux ont en effet été nécessaires pour finaliser des séquences d’action époustouflantes, dans un monde décrit comme “un lieu magique où tout est possible”. Le voyage, il est là : dans l’irréel, dans le jeu vidéo, grâce à un avatar qui vit les aventures à la place des joueurs ; un monde infini à explorer. Et en guise de morale, le cinéaste réaffirme le rôle social de la culture, vecteur éternel de liens entre humains.

Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.

Agnès Varda est cinéaste, en 2016 elle a 88 ans. JR est photographe, et en 2016, il a 33 ans. Au premier abord, on voit leurs différences ; le film montre ce qui les rassemble. La passion des images, la manière de les exposer, les lieux pour les montrer. 

Embarquez avec eux et voyagez en France, loin des grandes villes mais au plus près des gens. Au fil de leurs rencontres, dans le camion de JR et sur les petites routes de campagne, suivez leur cheminement en Amitié.

Pour faire de bonnes photos, il faut savoir regarder, bien sûr, mais ces deux-là savent aussi écouter et nous tirer gentiment par l’oreille hors des sentiers battus. Les images vous surprendront, vous toucheront, vous tireront parfois des larmes. N’hésitez pas, montez sur le marchepied, ils n’attendent que vous pour débuter ce voyage.

Michel, la cinquantaine, est infographiste. Passionné par l’aéropostale, il se rêve en Jean Mermoz. Un jour, Michel tombe en arrêt devant des photos de kayak : on dirait le fuselage d’un avion. C’est le coup de foudre. 

En cachette, il achète un kayak à monter soimême. Michel rêve de grandes traversées en solitaire et part enfin sur une jolie rivière inconnue. 

Un quinquagénaire désabusé faisant le bilan de sa vie au cours d’une croisière en kayak dans une région bucolique de la campagne française. Un voyage en France, ce « bout du monde » ! 

Un conte lumineux dans une ambiance décalée, une bouffée d’oxygène.

Amérique latine en 1952, un gigantesque incendie ravage un puits de pétrole, unique source locale de richesses. Un convoi de deux camions chargés de quatre cents kilogrammes de nitroglycérine dont l’explosion doit éteindre le brasier vont partir. A leur bord, 4 hommes attirés par la somme promise en cas de succès (deux mille dollars par personne). Commence alors un périple dangereux et à l’issue incertaine. 

Un film sur la témérité, l’amitié, la haine… et la peur.