Interdit aux – de 12 ans,

Dans les Pyrénées, un loup attise la colère des villageois. Teddy, 19 ans, sans diplôme, vit avec son oncle adoptif et travaille dans un salon de massage. Sa petite amie Rebecca passe bientôt son bac, promise à un avenir radieux. Pour eux, c’est un été ordinaire qui s’annonce.
Mais un soir de pleine lune, Teddy est griffé par une bête inconnue. Les semaines qui suivent, il est pris de curieuses pulsions animales…
Comme dans la plupart des (« bons ») films d’épouvante, l’horreur n’est pas gratuite. Elle est une manière cinématographique d’aborder nos peurs contemporaines. La Nuit des morts vivants était une crique sanglante de la société de consommation ; La Nuée, une dénonciation de l’agrobusiness. Teddy ne fait pas exception en mettant en scène la violence des rapports de classes dont est victime la jeunesse populaire rurale.

Interdit aux – de 12 ans, version française

Quelques années après les événements survenus à bord du Nostromo, un groupe de jeunes colons de l’espace travaille comme mineurs et rêve de rejoindre une autre planète verdoyante, Yvaga. Un des membres propose d’utiliser une station spatiale abandonnée en orbite
autour de leur planète actuelle afin de s’y rendre. C’est là qu’ils vont se retrouver face-à-face avec la forme de vie la plus terrifiante de l’univers : le Xénomorphe.
Alien : Romulus se déroule en l’an 2142, soit à mi-chemin entre les évènements survenus dans Alien, le huitième passager et ceux de Aliens, le retour. Après les échecs des deux récents préquels, l’Urugayen Fede Alvarez, auteur du remake réussi de Evil Dead, revient aux fondamentaux de la saga : une montée en tension maîtrisée, des personnages confrontés à de nombreuses épreuves anxiogènes, des effets spéciaux réussis et, bien sûr, d’effrayants Aliens. Dans la salle, tout le monde vous entendra crier !

Marc est cascadeur équestre. Un grave accident sur un tournage lui fait perdre tout espoir de remonter un jour à cheval. Florence est chargée par la compagnie d’assurance de s’occuper du dossier de cet homme brisé. Cette brève rencontre va bouleverser leurs équilibres.
L’amour du cheval et de son cavalier. Cette relation toute particulière, quasi exclusive est magnifiquement mise en images. Albert Dupontel, à la fois bourru, touchant, têtu ou amoureux, est excellent et réserve quelques moments particulièrement savoureux.

Avril, avocate abonnée aux causes perdues, s’est fait une promesse : sa prochaine affaire, elle la gagne ! Mais lorsque Dariuch, client aussi désespéré que sa cause, lui demande de défendre son fidèle compagnon Cosmos, les convictions d’Avril reprennent le dessus. Commence alors un procès aussi inattendu qu’agité : le procès du chien.
Un premier film atypique et sympathique qui est à l’image de son actrice-réalisatrice. Déroulant son action en Suisse, Laetitia Dosch vient y interroger, avec une certaine pertinence et malice, la perception du chien par l’homme (s’agit-il d’une chose ou d’une personne, et comment doit-il en conséquence être jugé en fonction de cela ?), ainsi que la responsabilité et les préjugés de chacun.e dans ce procès, médiatique et inédit.

Au cœur des hauts plateaux tibétains, le photographe Vincent Munier entraîne l’écrivain Sylvain Tesson dans sa quête de la panthère des neiges. Il l’initie à l’art délicat de l’affût, à la lecture des traces et à la patience nécessaire pour entrevoir les bêtes. En parcourant les sommets habités par des présences invisibles, les deux hommes tissent un dialogue sur notre place parmi les êtres vivants et célèbrent la beauté du monde.
Documentaire aux images sublimes où les animaux et les paysages sont époustouflants de grandeur. Un chef d’œuvre du photographe animalier !