Au début des années 80, abandonnant une carrière d’avocat prometteuse, Pierre Durand se consacre à sa passion, le saut d’obstacle. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup. Trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, il a de nombreux défauts mais une détente et des aptitudes remarquables. De compétition en compétition, le duo progresse et s’impose dans le monde de l’équitation. Mais les JO de Los Angeles sont un terrible échec et Pierre prend alors conscience de ses faiblesses. Avec l’aide de Nadia, sa femme, et de Raphaëlle, la palefrenière du cheval, Pierre va regagner la confiance de Jappeloup et construire une relation qui va les
mener aux JO de Séoul en 1988.

Un film humain et profond qui vous fera passer un moment inoubliable.

 

Guidés par le réalisateur Cyril Dion, deux jeunes militants écologistes, Bella et Vipulan, partent à la rencontre de personnes qui œuvrent au quotidien pour atténuer notre impact (négatif) sur notre environnement afin de protéger, préserver (et renouer avec) le vivant. Tout au long d’un extraordinaire voyage, ils vont comprendre que nous sommes profondément liés à toutes les autres espèces. Et qu’en les sauvant, nous nous sauverons aussi. L’être humain a cru qu’il pouvait se séparer de la nature, mais il est la nature. Il est, lui aussi, un Animal.

Un film, très fort en émotion, qui ouvre les yeux sur les problèmes liés à l’environnement tout en proposant des solutions ! Il vous redonnera espoir sur le changement possible, et chacun en sort tout apaisé. Séquences de réflexion, séquences d’émotion, séquences de contemplation ; le tout compose un film utile, fédérateur et optimiste.

 

Une ferme laitière en Haute-Marne, pour Pierre la vie est rude, mais peu importe, il aime ses vaches. Pour lui, les levers au petit matin, les nuits passées auprès d’elles lors des vêlages sont sa vie quotidienne, il n’accepte que les visites de sa sœur vétérinaire. Mais la peur s’empare de lui lorsque dans les élevages voisins se déclarent les manifestations d’une épidémie. Quand il constate que l’une de ses vaches est malade, sa peur se transforme en terreur. Il va tout faire pour sauver ses vaches, même l’impensable.

Dans un film très maitrisé Swann Arlaud est devenu ce fermier déchiré par l’angoisse, mais acteur de sa vie et de sa responsabilité vis-à-vis de « l’Animal ».

César du meilleur film pour Hubert Charuel en 2018, César du meilleur acteur pour Swann Arlaud, César du meilleur second rôle féminin pour Sara Giraudeau