Né en 1989, Clément Schneider suit d’abord une classe préparatoire de cinéma à Nantes. Un bref passage par Louis-Lumière, avant d’entrer à la Fémis, dans le département Réalisation. Il profite alors des rencontres et des possibilités que lui offre l’école pour réaliser en 2012 le long-métrage Études pour un paysage amoureux.

Après avoir filmé ses frères et ses cousins dans nombre d’histoires pendant dix ans, Joseph Minster quitte les Alpes en 2005 pour étudier la littérature et le cinéma à Paris. Aujourd’hui, titulaire d’un Master de littérature comparée et diplômé du département Réalisation de La Fémis, il écrit pour le web et le cinéma et revient régulièrement tourner des films dans les paysages de son enfance.

Auteur, réalisateur et comédien, Stéphan Castang a écrit et réalisé : Jeunesses françaises (2011, sélectionné à la Berlinale 2012, sélection César 2013 et primé aux festivals de Pantin, Nice, Lille…), Service compris (2014), le moyen-métrage : Fin de campagne (2014), et Panthéon Discount (2016, sélection César 2018 et sélectionné dans une centaine de festivals et primé entre autres à Clermont-Ferrand, Alès, Brest, Séoul, Stuttgart… ). En 2022, il tourne son premier long métrage, Vincent doit mourir, qui sortira prochainement en salles de cinéma.

Après avoir travaillé comme monteur et caméraman pour la télévision et sur divers films de commande, Marc Perroud s’intéresse à la réalisation et se dirige vers le documentaire. De l’écriture à la conception de ses films, il aborde et filme des territoires singuliers, souvent en marge (une salle de répétition, une friche industrielle…), où le geste artistique, l’histoire et le militantisme se rejoignent. 

Anna Salzberg est cinéaste. Elle fait des films-essais, parfois courts et plastiques, parfois longs et documentaires. Elle aime mélanger les genres et travailler le support de la pellicule super 8 et 16 mm. Elle fait également de la création sonore et de la radio.

Anna a étudié les sciences sociales et les sciences politiques. Elle est filmeuse, preneuse de son et monteuse son. Elle a aussi réalisé des documentaires sonores pour ARTE Radio. Elle est membre des laboratoires artisanaux l’Etna et l’Abominable, où elle travaille les supports argentiques du super 8 et du 16 mm. Elle fait partie des Scotcheuses (collectif de cinéma qui fabrique des films en super 8 sur des lieux de lutte, comme à la zad de Notre-Dame-des-Landes et à Bure), et de différents collectifs féministes (la Poudrière, les Bombes atomiques). Son premier film, Malaises, co-réalisé avec Eléonore Merlin, s’intéresse aux féminismes musulmans en Malaisie. Puis elle réalise une série documentaire radiophonique, La sage-femme, sur une sage-femme en milieu rural, en Picardie (ARTE Radio). Son précédent film, On ira à Neuilly inch’allah, co-réalisé avec Mehdi Ahoudig, a obtenu une mention spéciale au Festival Traces de vie (Clermont-Ferrand), la mention Graine de Doc au Festival Doc en courts (Lyon) et a été diffusé dans de nombreux festivals internationaux. Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune est son premier long-métrage documentaire. Anna écrit un livre pour prolonger son film, dessine une bédé sur les conflits dans les collectifs avec son amie Delphine, mène des ateliers de cinéma avec des personnes âgées habitantes d’Ehpad, des prisonniers, des lycéen.ne.s, des enfants, et filme parfois des documentaires pour la télévision.

Le groupe 24 d’Amnesty International présentera une  exposition retraçant l’histoire et l’évolution d’Amnesty International.

 Cette exposition met en avant celles et ceux qui se mobilisent et agissent au quotidien pour la défense des droits humains.

Les personnes qui sont et qui font Amnesty International depuis 1961 sont des hommes et des femmes de conviction et d’espoir. Ensemble, elles demandent justice, plaident pour plus de liberté, pour plus d’égalité, et défendent les droits fondamentaux de toutes et tous.

 Ensemble, elles changent des vies. Ensemble, elles changent des lois.

Cette exposition met à l’honneur le militantisme au sein d’Amnesty International .  Un militantisme qui a toujours su s’adapter aux défis du temps, à l’élargissement des combats et aux évolutions des moyens d’information et de communication. Un militantisme qui ne s’est jamais essoufflé et qui construit encore aujourd’hui le monde de demain.

La Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) constitue le socle de la mission d’Amnesty International, elle pourra être découverte par le biais d’un Memory

 

  

Pour notre troisième édition des CinEclectiques, Gilles Perret et Marion Richoux nous font l’immense plaisir d’être nos invités d’honneur. Nous ne pouvions rêver mieux pour le thème de cette année « Espérer, résister, ensemble ».

Né en juin 1968 en Haute-Savoie où il continue d’habiter, Gille Perret, fils d’ouvrier, suit des études d’ingénieur et travaille quelques temps dans la Vallée de l’Arve (où se déroule l’histoire du film projeté en ouverture : Reprise en main) avant de se tourner vers l’audiovisuel puis le cinéma.

Il réalise de nombreux documentaires, et dès le départ, c’est un cinéma humaniste et social qu’il propose, où espoir et résistance collective sont des thèmes majeurs. En témoignent ces quelques exemples tirés de sa filmographie : Walter, retour en résistance (2009), Les Jours heureux (2013) et La Sociale (2016) -projeté lors de la première édition du festival- qui traitent des idéaux du Conseil Nationale de la Résistance et des bâtisseurs de la Sécu. Citons aussi J’veux du soleil, un road movie à la rencontre de Gilets Jaunes, qui vous sera projeté ce samedi en sa présence, ou le tout aussi formidable Debout les femmes ! (2021).

En soirée d’ouverture, il vous présentera sa première fiction, Reprise en main, accompagné par notre autre invitée d’honneur, sa compagne Marion Richoux, co-scénariste et directrice artistique de cette grande comédie sociale où il est aussi question d’espoir et de résistance. Résistance à une mondialisation financière au effets dramatiques sur les entreprises et espoir face à « un monde où on nous fait toujours croire qu’il n’y a pas d’alternative […] que de baisser la tête ». Tous deux échangeront avec les spectateurs après la projection.

Groupe auteur-compositeur franc-comtois originaire de Besançon, Les Grenouilles de Salem vous invitent à découvrir leur univers folk-
rock dynamique, dans une ambiance chaleureuse qui rassemble tous les publics.
3 guitares, 3 chants, piano, basse, batterie, ukulélé, accordéon… s’accordent pour vous entraîner avec eux dans un univers généreux, au fil de textes tour à tour piquants, touchants ou drôles.

 

Christian LEROY Compositeur, pianiste, ciné-concertiste

Christian Leroy né en Belgique, en 1952.
Il s’est imposé depuis voici 40 ans comme l’un des compositeurs les plus créatifs en Europe .
Christian Leroy commence très tôt à accompagner des films muets. Ainsi explore-t-il le répertoire du cinéma muet comme improvisateur dans à peu près 200 films.
Par ailleurs, il est invité comme ciné-concertiste dans des Festivals et Scènes Nationales à l’étranger : Italie, France, Irlande, Hollande, Allemagne, Suisse, Espagne, Tunisie, Roumanie, Bulgarie, Maroc, Syrie, Egypte, Amérique du Nord et du Sud, Cameroun, Algérie.
Outre ses compositions pour le cinéma muet, Christian Leroy a composé une cinquantaine de musiques de films : animation, documentaires, cinéma d’auteur sélectionnés et primés dans les plus grands festivals: Rome, New-york, Istambul, Hyderabad, Taiwan, Porto, Cannes, Clermont- Ferrand, Berlin, Torento, Annnecy, Bogota, Montecatini, Bruxelles, Namur etc…
Ses œuvres sont publiées chez Polydor, Igloo, Emi, Gega new, Cristal Records …
Il a composé la musique des films Nanouk l’Esquimau, Dracula, Le Dernier des Hommes, Gosses de Tokyo, Cenere, L’Aurore de Murnau, Tabu de Murnau, etc….