Dans un monde infesté de zombies, Columbus et Tallahassee tentent de survivre. L’un est terrorisé à l’idée d’être dévoré et l’autre est un chasseur de zombie dont le seul objectif est de trouver ses biscuits préférés.
Dans leur périple, les deux survivants sont rejoints par Wichita et Little Rock, deux jeunes filles.

Ils essaient de s’allier pour combattre les zombies.

Le château de Cagliostro  nous emmène suivre les péripéties du gentleman-cambrioleur Edgar de la Cambriole (Lupin III) dans la petite principauté de Cagliostro sur les traces de faux-monnayeurs. Il s’attache finalement à sauver la princesse Clarisse des griffes de l’infâme comte de Cagliostro, prêt à tout pour retrouver un légendaire trésor perdu. Le film met également en scène les associés d’Edgar Jigen et Goemon, sa concurrente et ancienne amante Magali (Fujiko), ainsi que son ennemi juré et allié de circonstance, l’inspecteur Gaston Lacogne (Koichi Zenigata) d’Interpol

 

Julian Marty, tenancier d’un bar texan, suspecte son épouse Abby d’entretenir une liaison adultère avec un de ses barmans, Ray. Plus tard, Ray est obligé de faire face à Marty et quitte son travail. Marty charge Visser de tuer le couple Abby-Ray tandis qu’il sera en train de pêcher du poisson près de Corpus Christi, ce qui lui donnera un alibi.  Visser pénètre dans le domicile de Ray, dérobe le révolver d’Abby et photographie, à travers la fenêtre de la chambre, le couple en train de dormir. Il présente les photos de leurs corps, qu’il fait passer pour des cadavres, à Marty, qui lui paie la récompense de 10 000 dollars. Après réception de la somme, il tue Marty avec le révolver d’Abby et laisse l’arme sur les lieux du meurtre afin de laisser croire que c’est elle qui a tué son époux. Plus tard dans la soirée, Ray retourne au bar et, découvrant Marty mort, suppose qu’Abby a tué son mari. Il décide alors de faire disparaître tout indice, nettoyant le sang et détruisant les preuves pouvant accabler Abby. Découvrant que Marty moribond est encore vivant, il enterre celui-ci. Pendant ce temps, Visser détruit les photos du couple mais constate que l’une d’elles manque : Marty l’avait mise de côté, en sécurité dans son coffre. Il se rappelle aussi qu’il a laissé son briquet avec son nom gravé dans le bureau de Marty. Ray rencontre Abby et lui explique qu’il a nettoyé les lieux, sans réaliser qu’elle ne comprend pas du tout ce qu’il lui raconte. Une discussion, puis une dispute, s’instaure, qui est interrompue par un appel de Visser, qui ne dit rien. Abby déclare à Ray que c’est sans doute Marty qui appelle. Étonnée par le comportement de Ray, Abby se rend au bar, qu’elle découvre cambriolé et chamboulé. Abby en déduit désormais que c’est Ray qui a tué Marty pour une histoire d’argent. Ray lui explique tout : il a trouvé le révolver d’Abby dans le bar et croyait que c’était elle qui avait fait le coup. Ray retourne au bar et trouve l’une des photos du photomontage de Visser dans le coffre ouvert.

Bien qu’ayant perdu son travail, Michel vit heureux avec Marie-Claire. Ces deux-là s’aiment depuis trente ans… leurs enfants et leurs petits-enfants les comblent… ils ont des amis très proches… ils sont fiers de leurs combats syndicaux et politiques…

Ce bonheur va voler en éclats devant deux hommes armés et masqués qui les frappent, les attachent, leur arrachent leurs alliances, et s’enfuient avec leurs cartes de crédit.

Leur désarroi sera d’autant plus violent lorsqu’ils apprendront que cette brutale agression a été organisée par l’un des jeunes ouvriers licenciés en même temps que Michel, par l’un des leurs…

Film présenté par Pascal Benutruy, critique à Positif

Respect et tolérance entre mineurs et activistes gays, feel good moovie !

Pour soutenir la grève des mineurs de 1984 dans le Royaume Uni de Margaret Thatcher, un groupe d’activistes gays et lesbiens londoniens récolte des fonds pendant la Gay Pride. Ils prennent ensuite la route du Pays de Galle en minibus pour remettre l’argent directement aux familles d’un petit village minier. Entre les citadins décomplexés et les villageois désespérés, le fossé culturel est gigantesque, le choc des styles de vie violent… et tous vont en sortir changés, pour le meilleur.

Basé sur des faits réels (oui oui), ce film prône l’ouverture, la tolérance et la solidarité. Casting impeccable, crises de fou-rire et crises de larmes assurées, on sort de la salle réjouis et rassurés sur la nature humaine : à voir absolument !

1940 : Alan Turing, mathématicien, cryptologue, est chargé par le gouvernement Britannique de percer le secret de la célèbre machine de cryptage allemande Enigma, réputée inviolable.

Ce film passionnant retrace l’histoire fascinante de Alan Turing, mathématicien de génie incarné par un Benedict Cumberbatch bouleversant. Considéré comme le père des ordinateurs et de l’intelligence artificielle, Alan Turing a selon plusieurs historiens joué un rôle déterminant durant la seconde guerre mondiale, et aurait accéléré la chute du nazisme.

Il fut pourtant persécuté pour son homosexualité par le gouvernement britannique dans la période d’après-guerre.

A l’hôpital de Brest, une médecin pneumologue fait le lien entre des morts inexpliquées et la prise d’un médicament prescrit depuis une trentaine d’années. Le combat qu’elle mène contre l’ordre établi, à la fois le laboratoire Servier et les autorités de contrôle sanitaire, est filmé comme un thriller.

Film humaniste où se vérifie la phrase d’Einstein «  le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire ».

Voici un film qui nous ramène à une aventure technique et culturelle. Celle qui a conduit Auguste et Louis Lumière,deux bisontins fils de haut-saônois (Ormoy), à inventer le cinématographe en 1895. Avec leurs premiers films restaurés et mis ici en valeur par une scénarisation impeccable, ils ont mis en place des techniques, inventé les premières scènes préparées, créé les premiers reportages, imaginé des univers qui ont encore cours aujourd’hui. Sans eux, CinEclate, Cinémavia et tous les films de notre festival n’existeraient peut-être pas de la même manière. Ils ont indéniablement changé le monde, notre manière de percevoir ce qui nous entoure. Grâce à eux, nous vivons de belles aventures dans les salles obscures. Ce film est une pépite à ne pas rater.

Issue du programme du Conseil National de la Résistance – sous le magnifique intitulé Les jours heureux -, la Sécurité Sociale est créée en 1945 dans une France ruinée et dévastée.  

Mais qui connaît l’histoire de la « Sécu » et celle de ses bâtisseurs, comme le ministre Ambroise Croizat ? Ce poignant long-métrage de Gilles Perret raconte, à travers de nombreux témoignages et images d’archives, la genèse de ce bien commun, ce qu’elle est aujourd’hui et ce qu’elle pourrait devenir. Une Histoire qui nous concerne tous, une lutte qui n’est jamais finie.

Animateurs et développeurs de projets sociaux et participatifs à Autun, Agathe et

Thibault partent à la rencontre d’initiatives positives à travers le Monde. Ils vont à la rencontre des populations, découvrent des projets qui valorisent le vivre-ensemble. Dans leurs bagages, une mallette de jeux pour cultiver le partage et l’amitié. De leur tour du monde des initiatives, ils en retirent  plusieurs pistes différentes pour progresser, exister, ensemble tout simplement, où que l’on soit et qui que l’on soit. Une galerie de personnages et d’actions qui changent le quotidien de communautés. Un film et des jeux à découvrir ensemble.