Au début des années 80, abandonnant une carrière d’avocat prometteuse, Pierre Durand se consacre à sa passion, le saut d’obstacle. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup. Trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, il a de nombreux défauts mais une détente et des aptitudes remarquables. De compétition en compétition, le duo progresse et s’impose dans le monde de l’équitation. Mais les JO de Los Angeles sont un terrible échec et Pierre prend alors conscience de ses faiblesses. Avec l’aide de Nadia, sa femme, et de Raphaëlle, la palefrenière du cheval, Pierre va regagner la confiance de Jappeloup et construire une relation qui va les
mener aux JO de Séoul en 1988.

Un film humain et profond qui vous fera passer un moment inoubliable.

 

Jean Pierre (J.P. Bacri) se retrouve à garder un labrador pendant une semaine. Pendant la nuit, le labrador prend apparence humaine (A. Chabat) tout  en gardant un comportement de chien : il renifle, court, jappe, dévore sa pâtée…

Une histoire complètement dingue pour une comédie incroyablement bien réussie !

César du meilleur premier film en 1998, Didier a très bien vieilli : du rythme, des dialogues ciselés, des quiproquos, des jeux de mots mais surtout un duo Chabat — Bacri qui livre ici une grande leçon de comédie. Échauffez vos zygomatiques, rire garanti, sans oublier
le bonheur de retrouver Jean Pierre Bacri et son caractère de chien à l’écran !

 

Guidés par le réalisateur Cyril Dion, deux jeunes militants écologistes, Bella et Vipulan, partent à la rencontre de personnes qui œuvrent au quotidien pour atténuer notre impact (négatif) sur notre environnement afin de protéger, préserver (et renouer avec) le vivant. Tout au long d’un extraordinaire voyage, ils vont comprendre que nous sommes profondément liés à toutes les autres espèces. Et qu’en les sauvant, nous nous sauverons aussi. L’être humain a cru qu’il pouvait se séparer de la nature, mais il est la nature. Il est, lui aussi, un Animal.

Un film, très fort en émotion, qui ouvre les yeux sur les problèmes liés à l’environnement tout en proposant des solutions ! Il vous redonnera espoir sur le changement possible, et chacun en sort tout apaisé. Séquences de réflexion, séquences d’émotion, séquences de contemplation ; le tout compose un film utile, fédérateur et optimiste.

 

En présence des réalisateurs Willy Orr et d’Adrien Pavie (sous réserve) qui échangeront avec le public à l’issue de la projection

Va dans les bois, Lucie Prost (2021) 25 min
Dans le Haut-Jura, Maria, une ado s’occupe des chiens de traîneaux de son père et regarde des clips d’ados qui font du skate à L.A.
Un soir, intriguée par Vincent, chargé de poser des tavaillons sur la façade de sa maison, elle décide de le suivre jusque chez
lui et se trouve dès lors embarquée dans un drôle de trafic.

Mon père le poisson, Adrien Pavie et Britta Potthoff (2017) 15 min
Dans une ferme du Morvan, Esteban, sept ans, mène « une vie de Bohème », seul avec son père turc. Rentrant de la rivière avec une truite, Esteban trouve celui-ci à l’agonie, suffocant tel un poisson hors de l’eau. Dans l’imaginaire magique de l’enfant tout se mêle : sauver le poisson pour sauver son père.

Les chairs froissées, Paul Guy Rabiet (2020) 19 min
Deux jeunes décident d’oublier la mort en s’exilant au cœur de la nature morvandelle. En attendant l’aube ils se racontent des histoires réelles ou fantasmées.

La Mue, Willy Orr (2021) 15 min
Ashille, marqué par le récent décès de son père, vit cloîtré dans la maison dont il vient d’hériter. Il découvre que des punaises de lit se sont propagées dans la demeure et qu’elles le dévorent chaque nuit. Steve, son grand-frère, qui veut vendre la propriété au plus vite, essaie de le secouer un peu. Ashille, lui, voudrait y rester encore.

 

Une ferme laitière en Haute-Marne, pour Pierre la vie est rude, mais peu importe, il aime ses vaches. Pour lui, les levers au petit matin, les nuits passées auprès d’elles lors des vêlages sont sa vie quotidienne, il n’accepte que les visites de sa sœur vétérinaire. Mais la peur s’empare de lui lorsque dans les élevages voisins se déclarent les manifestations d’une épidémie. Quand il constate que l’une de ses vaches est malade, sa peur se transforme en terreur. Il va tout faire pour sauver ses vaches, même l’impensable.

Dans un film très maitrisé Swann Arlaud est devenu ce fermier déchiré par l’angoisse, mais acteur de sa vie et de sa responsabilité vis-à-vis de « l’Animal ».

César du meilleur film pour Hubert Charuel en 2018, César du meilleur acteur pour Swann Arlaud, César du meilleur second rôle féminin pour Sara Giraudeau

 

À New York, deux petites souris, Bernard et Bianca, volent au secours de Penny, une petite orpheline séquestrée par l’affreuse Medusa…

Un grand classique des studios DISNEY aux personnages attachants et qui détend par son côté positif. Une belle aventure remplie d’humour et d’émotion !

En Version française et à partir de 6 ans

 

En présence de la réalisatrice Lucie Prost !

Léo, jeune ingénieur brillant et fêtard qui vit à Berlin, doit rentrer dans son village du Doubs pour vendre les terrains agricoles de son père
à une entreprise de forage de métaux rares. Il retrouve sa mère, sa petite sœur, ses copains et son cousin, en désaccord avec le projet de
mine. Rapidement, Léo observe d’étranges comportements chez les farios, ces truites qui peuplent la rivière. Il se lance alors dans une
enquête hallucinée…

Ce premier long métrage de Lucie Prost, tourné dans la région d’Ornans avec des acteurs époustouflants de justesse, embrasse une multitude de thèmes, dont la sensibilité d’une jeunesse hyper lucide sur la réalité du monde actuel.

Interdit aux – de 12 ans,

Dans les Pyrénées, un loup attise la colère des villageois. Teddy, 19 ans, sans diplôme, vit avec son oncle adoptif et travaille dans un salon de massage. Sa petite amie Rebecca passe bientôt son bac, promise à un avenir radieux. Pour eux, c’est un été ordinaire qui s’annonce.
Mais un soir de pleine lune, Teddy est griffé par une bête inconnue. Les semaines qui suivent, il est pris de curieuses pulsions animales…
Comme dans la plupart des (« bons ») films d’épouvante, l’horreur n’est pas gratuite. Elle est une manière cinématographique d’aborder nos peurs contemporaines. La Nuit des morts vivants était une crique sanglante de la société de consommation ; La Nuée, une dénonciation de l’agrobusiness. Teddy ne fait pas exception en mettant en scène la violence des rapports de classes dont est victime la jeunesse populaire rurale.

Interdit aux – de 12 ans, version française

Quelques années après les événements survenus à bord du Nostromo, un groupe de jeunes colons de l’espace travaille comme mineurs et rêve de rejoindre une autre planète verdoyante, Yvaga. Un des membres propose d’utiliser une station spatiale abandonnée en orbite
autour de leur planète actuelle afin de s’y rendre. C’est là qu’ils vont se retrouver face-à-face avec la forme de vie la plus terrifiante de l’univers : le Xénomorphe.
Alien : Romulus se déroule en l’an 2142, soit à mi-chemin entre les évènements survenus dans Alien, le huitième passager et ceux de Aliens, le retour. Après les échecs des deux récents préquels, l’Urugayen Fede Alvarez, auteur du remake réussi de Evil Dead, revient aux fondamentaux de la saga : une montée en tension maîtrisée, des personnages confrontés à de nombreuses épreuves anxiogènes, des effets spéciaux réussis et, bien sûr, d’effrayants Aliens. Dans la salle, tout le monde vous entendra crier !

Marc est cascadeur équestre. Un grave accident sur un tournage lui fait perdre tout espoir de remonter un jour à cheval. Florence est chargée par la compagnie d’assurance de s’occuper du dossier de cet homme brisé. Cette brève rencontre va bouleverser leurs équilibres.
L’amour du cheval et de son cavalier. Cette relation toute particulière, quasi exclusive est magnifiquement mise en images. Albert Dupontel, à la fois bourru, touchant, têtu ou amoureux, est excellent et réserve quelques moments particulièrement savoureux.